La question de l’externalisation est présente dans toutes les organisations et elle concerne aussi la formation professionnelle. Pour qu’elle soit vraiment une solution qui facilite la transformation des services Learning & Development, il y a des éléments qu’il faut bien avoir en tête. Petit tour d’horizon.
Le mot classe virtuelle est souvent prononcé depuis nos confinements et déconfinements – les dispositifs de formation présentiels deviennent distanciels. Il nous faut, nous formateurs, être de bons architectes pour concevoir des dispositifs attrayants, solides et remplissant la mission originelle celle de développer des compétences.
Nouveaux contenus, nouvelle présentation, la 4e édition de la boite à outils des formateurs est parue le 27 mai 2020. Vendu à plus de 35 000 exemplaires, cet ouvrage est destiné aux formateurs permanents ou occasionnels, aux chefs de projets formation, aux ingénieurs pédagogues, aux coach ou managers de la formation.
Dans un précédent billet nous nous demandions comment animer une classe virtuelle. Être attentif aux participants, mettre de la chaleur et de l’enthousiasme dans sa voix, susciter la participation… c’est bien. Mais cela ne suffit pas. Une classe virtuelle doit être conçue avec précision, pour susciter l’engagement et faciliter une animation fluide.